Gestion des bĂątimentsPremium

Le potentiel d'un systĂšme de gestion de batiments dans le secteur des soins

Meilleure 'customer experience', important mobile pour investir dans la gestion bĂątiment

La plupart des sociĂ©tĂ©s d’investissement le savent dĂ©jĂ . Investir dans un systĂšme de gestion de bĂątiments rend le bĂątiment rĂ©sistant Ă  l’avenir et donc plus durable. De plus, un tel systĂšme aide Ă  rĂ©duire les coĂ»ts et accroĂźt le confort de l’utilisateur. Dans un contexte de soins de santĂ©, un tel systĂšme offre des possibilitĂ©s illimitĂ©es. Surtout quand toutes les techniques sont intĂ©grĂ©es dans un seul systĂšme de gestion centralisĂ©e.

domotica in gebouwen

POURQUOI UN SYSTEME DE GESTION DE BATIMENTS?

Intégration de toutes les techniques

Un systÚme de gestion de bùtiments collecte et gÚre toutes les données liées au bùtiment, dans le but de e.a.:

Comment choisir les bonnes couleurs pour un établissement de soins?
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  • permettre l’échange de donnĂ©es
    avec le gestionnaire du bĂątiment;
  • assurer la concordance et la collaboration entre les diffĂ©rentes techniques du bĂątiment;
  • surveiller et prĂ©voir les comportements
    d’utilisateur;
  • commander de façon centrale diffĂ©rentes installations et techniques dans le bĂątiment;
  • surveiller la performance du bĂątiment;
  • amĂ©liorer le flux de travail;
  • accroĂźtre la ‘customer experience’ et mettre les techniques disponibles dans le bĂątiment au service des utilisateurs du bĂątiment.

Alors qu’avant, il y avait un systĂšme de ges­tion sĂ©parĂ© par technique, p.ex. un systĂšme de gestion de bĂątiments pour le HVAC, ou pour le contrĂŽle d’accĂšs et un pour la sur­veillance par camĂ©ras, ces techniques peuvent ĂȘtre pilotĂ©es maintenant de façon centrale via un seul systĂšme de gestion de bĂątiments.

Nombreuses possibilités pour le health care

Dans un contexte de soins de santĂ©, un tel systĂšme intĂ©grĂ© offre de nombreuses possibilitĂ©s qui profitent au confort de l’utilisateur (patient, personnel soignant), Ă  la sĂ©curitĂ© dans le bĂątiment et Ă  l’efficacitĂ© gĂ©nĂ©rale (et donc aussi au coĂ»t de gestion, frais d’énergie et de personnel, etc.). Quelques exemples:

  • ContrĂŽle d’accĂšs: des badges personnels donnent ou pas l’accĂšs au personnel Ă  des zones critiques du bĂątiment. Les lieux de stockage des anesthĂ©siques sont pourvus d’un scanner de badge.
  • Flux des patients: les patients sont accompagnĂ©s jusqu’à la salle d’attente via leur smartphone. Ils reçoivent des notifications sur les temps d’attente sur leur smartphone.
  • ExpĂ©rience du patient: sur un terminal Ă  cĂŽtĂ© du lit, le patient peut regarder la tĂ©lĂ©, mais y trouve aussi la sonnette d’alarme, le contrĂŽle de la lumiĂšre, la radio et d’autres infor­mations comme le menu du jour.
  • Flux de travail: aprĂšs enregistrement et lecture de leur carte d’identitĂ©, les patients reçoivent un bracelet comportant un code-barres. En scannant ce code-barres, le personnel soignant peut consulter le dossier mĂ©dical du patient et le modifier au besoin.
  • SĂ©curitĂ©: des Ă©tiquettes RFID aident Ă  Ă©viter l’échange d’enfant et les enlĂšvements d’enfant. La dĂ©tection des chutes dans les chambres donne l’alarme quand un patient a fait une chute.
  • ContrĂŽle climatique: dans le bloc opĂ©ratoire ou une couveuse, la tempĂ©rature, l’humiditĂ© de l’air, le taux de contamination, etc. sont suivis et optimisĂ©s par le systĂšme HVAC.
  • Soin Ă  distance: le patient mesure Ă  la maison sa pression artĂ©rielle et ses pulsations cardiaques Ă  l’aide d’un moniteur qui est reliĂ© directement Ă  l’hĂŽpital par une ligne vidĂ©o. Le plan ‘care’ d’un patient est facile Ă  suivre par le patient et ses proches.
jeroen bosch ziekenhuis

“LA COMMANDE DE LA PROTECTION SOLAIRE ÉTAIT LE PLUS GRAND DÉFI”

Systùme de gestion de bñtiment Johnson Controls dans l’hîpital Jeroen Bosch, Pays-Bas

Johnson Controls a effectuĂ© l’installation de rĂ©glage complĂšte, y compris les armoires de rĂ©glage et le cĂąblage, de la nouvelle construction Jeroen Bosch Ziekenhuis Ă  Bois-le-Duc aux Pays-Bas. La rĂ©alisation du projet a dĂ©butĂ© en 2008 et la mise en service a eu lieu en 2011. Dans l’hĂŽpital qui compte 1.145 lits et une superficie de 120.000 mÂČ, Johnson Controls a implĂ©mentĂ© divers systĂšmes pour e.a. le (post-)rĂ©glage des installations climatiques primaires, l’éclairage et la protection, ainsi que pour la surveillance des salles d’opĂ©ration et de la pharmacie, et pour l’envoi des rapports d’énergie.

Un grand dĂ©fi Ă©tait toutefois le rĂ©glage correct de la protection solaire. “Dans le cahier des charges, on a prĂ©vu de faire descendre la protection solaire en lamelles par façade (sud, ouest, nord)”, raconte Richard Zuijderwijk, business development manager Nederland. “Cependant, on ne tenait pas compte du fait qu’en raison de la taille et des formes architecturales de l’hĂŽpital, le soleil n’illuminait pas un grand nombre de fenĂȘtres Ă  cause de l’ombre d’une autre partie du bĂątiment. NĂ©anmoins, la protection solaire Ă©tait Ă©galement entiĂšrement fermĂ©e sur les fenĂȘtres dans l’ombre. La consĂ©quence Ă©tait que l’éclairage haute frĂ©quence autorĂ©glable brĂ»lait de façon plus intense et que la vue sur l’extĂ©rieur et la lumiĂšre naturelle du personnel et des patients Ă©taient occultĂ©es.”

Johnson Controls a proposĂ© une solution Ă  ces problĂšmes. “Pour chaque façade, on a rĂ©alisĂ© une animation d’ombre sur cinq hauteurs du soleil. Sur la base de ces donnĂ©es, a Ă©tĂ© Ă©crit le logiciel pour la commande des lamelles, la protection solaire s’ouvrant dĂšs qu’elle se positionne dans l’ombre. La position du soleil par rapport Ă  l’hĂŽpital est mesurĂ©e avec une prĂ©cision d’une demi-heure, ce qui fait pivoter les lamelles dans le bon angle pour tenir le soleil Ă  l’écart.”

CONSTRUCTION

Un systĂšme de gestion de bĂątiments comporte grosso modo quatre niveaux.

Niveau 1: le niveau serveur

Les serveurs sont ‘dedicated’ (et se trouvent donc dans un centre de donnĂ©es ou un local de serveurs) ou virtuels (dans le cloud). A ce niveau, le responsable du bĂątiment peut surveiller (via des stations, des navigateurs web, le multimĂ©dia, ...) l’utilisation du bĂątiment et intervenir, si nĂ©cessaire. L’échange de donnĂ©es avec des tiers (comme les ressources humaines pour l’enregistrement du personnel ou avec le service facturation pour facturer au client) peut aussi se dĂ©rouler Ă  ce niveau.

Niveau 2: le niveau hardwire

Ceci est le rĂ©seau LAN et/ou WAN dans le bĂątiment. Il forme le pont entre le niveau serveur et le niveau contrĂŽleur. Via le rĂ©seau, ces deux niveaux se transmettent des informations. Le plus souvent, le niveau hardwire est conçu physiquement (au moyen d’un cĂąblage). Un rĂ©seau sans fil est aussi possible, mais pour des infrastructures critiques (Ă  savoir des infrastructures qui peuvent entraĂźner des victimes s’ils tombent en panne), un rĂ©seau physique est prĂ©fĂ©rĂ© (plus grande fiabilitĂ©).

Niveau 3: le niveau contrĂŽleur

Les installations et appareils à ce niveau sont enfichés sur le réseau (le niveau hardwire). Au niveau contrÎleur, on trouve par exemple la centrale incendie, la centrale anti-effraction ou le contrÎleur HVAC pour le bloc opératoire.

Niveau 4: le niveau capteur

Ce niveau comprend tous les capteurs. Ceux-ci peuvent ĂȘtre des dĂ©tecteurs de fumĂ©e, des camĂ©ras, des commutateurs, des enregistreurs de tempĂ©rature/humiditĂ©, etc. Les capteurs transmettent les informations qu’ils ont glanĂ©es au niveau contrĂŽleur.

algemeen stedelijk ziekenhuis aalst

“LE SYSTÈME DE GESTION DE BÂTIMENTS GUIDE LES OPÉRATIONS”

Systùme de gestion de bñtiments dans l’Algemeen Stedelijk Ziekenhuis, Alost

Dans l’Algemeen Stedelijk Ziekenhuis, campus Alost, Siemens a installĂ© le systĂšme de gestion de bĂątiments Desigo. L’hĂŽpital, avec plus de 17.000 admissions par an, a dĂ©cidĂ© en 2011 de renouveler son bloc opĂ©ratoire. “Le bloc opĂ©ratoire de l’hĂŽpital Ă©tait ĂągĂ© de plus de 25 ans, une Ă©ternitĂ© en termes hospi­taliers”, raconte Peter Lippens, sales manager Siemens Building Technologies. “Les installations techniques, comme la clim’ et la ventilation, Ă©taient surannĂ©es et l’infrastructure IT datait aussi des annĂ©es 1980. En outre, il y avait de nouvelles normes et rĂšgles en matiĂšre d’hygiĂšne et de prĂ©cision durant les opĂ©rations.”

Pour relever tous les dĂ©fis et recommencer avec une page blanche, on a dĂ©cidĂ© une rĂ©novation totale du bloc opĂ©ratoire. Elle comportait de nombreuses disciplines: architecture, Ă©clairage, HVAC, Ă©nergie, protection et infrastructure ICT. “Siemens s’est chargĂ©e du cƓur de la rĂ©novation: le systĂšme de gestion de bĂątiments. Le systĂšme d’automatisation Desigo pilote de nombreux aspects du bloc opĂ©ratoire: HVAC, Ă©clairage, protection solaire, contrĂŽle des portes et diverses alarmes mĂ©dicales et Ă©lectriques. Chaque salle d’opĂ©ration a Ă©tĂ© Ă©quipĂ©e d’un contrĂŽleur Desigo PX et peut donc fonctionner de façon autonome. Dans chaque salle, est prĂ©vue une interface opĂ©rateur avec Ă©cran tactile, permettant au personnel mĂ©dical de contrĂŽler l’amenĂ©e d’air (tempĂ©rature, vitesse et flux), l’état des gaz mĂ©dicaux, la protection solaire/occultation, l’éclairage (avec six scĂ©narios de lumiĂšre rĂ©glables, par exemple adaptĂ© pour la chirurgie robotique ou les endoscopies), la hiĂ©rarchie de la pression dans la salle d’opĂ©ration et les mouvements de porte.”

integratie domotica in ziekenhuis

INTEGRATION

Parler la mĂȘme langue

Imaginons qu’un dĂ©tecteur de fumĂ©e mentionne la formation de fumĂ©e et donne l’alarme. Via le rĂ©seau, la centrale incendie transmet le signal au niveau serveur. Puis, des actions peuvent ĂȘtre prises au niveau bĂątiment (p.ex. avertir les patients via le terminal dans leur chambre, stopper la ventilation ...). Il est donc important de permettre l’interaction entre les diffĂ©rents systĂšmes (qui parlent la mĂȘme ‘langue’). C’est possible via des protocoles uniformes, via ce qu’on appelle les API (Application Programming Interface), ou au niveau cloud/serveur (local).

Un kit

Un systĂšme de gestion de bĂątiments peut ĂȘtre vu comme un kit constituĂ© de divers blocs constitutifs. Le gestionnaire du bĂątiment choisit le nombre de blocs et leurs fonctions. Ceci permet de choisir d’inclure uniquement les tĂąches Ă©lectricitĂ©, le HVAC, le contrĂŽle d’accĂšs et la sĂ©curitĂ© incendie dans le systĂšme de gestion de bĂątiments. Plus tard, ceci peut ĂȘtre Ă©tendu en fonction des besoins (avec p.ex. une branche sĂ©curitĂ© anti-effraction ou le soin des patients). Pour l’application dans les instituts de soins, il existe divers packages add-on, par exemple des systĂšmes de surveillance validĂ©s pour les blocs opĂ©ratoires et les pharmacies, des outils d’aide pour le contrĂŽle de la contamination dans les salles d’opĂ©ration, le lien avec le dossier Ă©lectronique du patient, etc.

DĂ©terminer Ă  l’avance le systĂšme de gestion de bĂątiments centralisĂ©

La mĂ©thode d’adjudication classique en vertu de laquelle les techniques Ă  exĂ©cuter sont sous-traitĂ©es en lots sĂ©parĂ©s (p.ex. package centrale d’incendie, package HVAC, package Ă©lectricitĂ©) et les possibilitĂ©s d’intĂ©gration des diffĂ©rentes techniques ne sont examinĂ©es que par la suite, n’est pas la meilleure mĂ©thode. Elle complique l’intĂ©gration des techniques. Il vaut mieux commencer par dĂ©terminer Ă  quel systĂšme central les techniques doivent ĂȘtre accouplĂ©es et selon quel protocole de communication les packages doivent communiquer. Le protocole de communication doit ĂȘtre Ă©crit dĂ»ment par lot dans le cahier des charges.

Protocoles ouverts

On opte le plus souvent pour un protocole ouvert (le public peut consulter les codes et spĂ©cifications sous-jacents des protocoles ouverts, les codes et spĂ©cifications dans les protocoles fermĂ©s appartiennent Ă  l’entreprise qui les crĂ©e, et des licences d’utilisateur sont exigĂ©es). Lors de l’implĂ©mentation des techniques sous-jacentes, on ne dĂ©pend pas dĂšs lors d’une certaine marque. En effet, le mĂȘme protocole est soutenu par diffĂ©rents fabricants.

Facteurs qui déterminent le rendement

Quelques facteurs participent Ă  la dĂ©termination du rendement du systĂšme de bĂątiment. Il est important que les diffĂ©rents systĂšmes soient bien corrĂ©lĂ©s, que des outils d’analyse utilisables soient mis en Ɠuvre, que les connaissances du systĂšme des collaborateurs soient actualisĂ©es, que des algorithmes soient idĂ©alement utilisĂ©s pour anticiper le comportement des utilisateurs et que des consultants en maintenance soient engagĂ©s pour optimiser constamment les logiciels qui pilotent le systĂšme de gestion de bĂątiments.

AZ groeninge kortrijk

“LE SOUHAIT DU CLIENT DE GÉRER DE FAÇON CENTRALE UN MAXIMUM DE TECHNIQUES”

Honeywell Enterprise Building Integrator dans l’AZ Groeninge, Courtrai

Honeywell a implĂ©mentĂ© dans l’AZ Groeninge Ă  Courtrai (campus Kennedylaan) le systĂšme de gestion de bĂątiments Honeywell EBI (Enterprise Building Integrator). Dans l’hĂŽpital d’env. 110.000 mÂČ et avec plus de 1.050 lits agréés et 35.000 admissions par an, on avait sou­haitĂ© pouvoir gĂ©rer un maximum de techniques de façon centrale via une plateforme de sys­tĂšme de gestion de bĂątiments coordinatrice intĂ©grĂ©e dans le rĂ©seau IT de l’hĂŽpital. L’implĂ©mentation s‘est faite en deux phases: Ă©tape 1 en 2008/2009, Ă©tape 2 en 2016-2017).

Le systĂšme de gestion de bĂątiments EBI se charge de nombreuses fonctions. Cela va de la ges­tion du contrĂŽle d’accĂšs, de la dĂ©tection incendie, de la production de chaleur et de froid, de la ventilation et de la climatisation, des mesures d’énergie, de la commande de l’éclairage et de la surveillance des alarmes, Ă  la gestion des autres techniques telles que les installations HS et LS Ă©lectriques, des ascenseurs, des installations d’eau de pluie et d’eaux usĂ©es, etc. L’implĂ©mentation et la mise en service ont demandĂ© une bonne organisation de Honeywell. Le dĂ©lai d’exĂ©cution Ă©tait strict lors de la mise en service, ce qui a demandĂ© de bons accords entre les techniciens Honeywell et les entrepreneurs qui ont installĂ© les techniques.

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Écrit par Valerie Verkain7 septembre 2017

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